L'almanachronique du 10 avril
Hello les blogos ! Oh j'ai aime la blogose !
Dieu sait si au cours de la plupart de mes chroniques, j'élève au haut rang qu'il le mérite, l'art hédoniste du lever de coude dans la plupart des lieux où le comptoir règne en maître. Je ne résiste pas, même en compagnie d'honnêtes cons, d'agiter ma glotte sous les assauts bienfaiteurs d'aimables "laitages" de l'automne. "Il coule en mon coeur la chaude liqueur d'la treille." Pareil tonton Georges ! Idem !
Mais quand je vois ce rince-évier cauteleux de Jean Louis Borloo, ce miséreux faux-jeton qu'on voit par les bars chanceler sa silhouette boursoufflée de prélat hypocrite, qui rabroue, avec quel courage, Nathalie Kosciusko-Morizet; ya de quoi gerber sur la phallocratie briochée des grands flandrins de l'assemblée ! Lâches !
Certes, il n'était pas impossible de croire que ce fameux Grenelle de l'environnement n'était qu'une tartufferie supplémentaire de la part de ces empêcheurs de buller en rond ! Certes ! Mais de là à les voir, tous ces beaux mâles consternants qui pérorent comme on pousse un étron, faire avaler à la donzelle autant de couleuvres larvées, et notamment sur les OGM, ça frise l'incontinence ministérielle et la piètre misogynie qu'on pouvait croire immémoriale. Naif que je suis !
Aaaah Nathalie ! Mais fous-leur ton poing sur la gueule ! Merde ! Tout d'abord, et sans mauvaise foi, je me demande comment une femme peut sincèrement être de droite et croire qu'elle puisse "ministrer" avec une totale liberté ? Non franchement ! Tout le monde sait qu'un politicien droitier n'imagine la gente féminine qu'entre le fourneau et l'évier, et souvent sujette docilement à la position du missionnaire ! Il semblerait même qu'ils mangent les enfants ! Si si ! Alors ma petite Nathalie, qu'est-ce que tu attends pour envoyer chier ces péteux condescendants ? T'as vu la tronche de Coppé ? Non mais t'as vu ?! Tu ne vas tout de même t'aligner face à ce sourire de pharisien constipé ?! Je ne peux le croire !
Quant à Borloo ? Rien de plus simple ! Tu prends un bon gros épi de maïs bien "ogéméisé". Tu vois ? Tu l'enduis bien partout d'huile de palme. Non ! Tout compte fait, tu ne l'enduis pas ! Ca serait trop facile ! Bon, tu prends donc cet épi, brillant et gonflé à bloc, gorgé de soleil, luisant. Tu vois où je veux en venir ? Hein ? Parfait ! Tu attends patiemment au comptoir de l'Assemblée Nationale, et quand je dis patiemment, tu verras que l'attente sera de courte durée. Bon ! Te voilà, gaie et enjouée, avec ton épi dans la main droite (C'est mieux pour la conviction !), et le dossier des OGM dans la main gauche. Voilà Borloo. Patience. Comme à son habitude, il commandera son pastis quotidien. Et là, tu fais tomber ton dossier à terre. Comme tous les mecs de droite sont machos, donc hypocritement courtois, il se baissera pour le ramasser en usant d'une formule à la con du style : "ça ne pousse pas ! Hin Hin !". Et là ! PAF !
- AAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !
- Bien l'bonjour Jean Loulou !
Si tu l'fais, je t'épouse !
Dieu sait si au cours de la plupart de mes chroniques, j'élève au haut rang qu'il le mérite, l'art hédoniste du lever de coude dans la plupart des lieux où le comptoir règne en maître. Je ne résiste pas, même en compagnie d'honnêtes cons, d'agiter ma glotte sous les assauts bienfaiteurs d'aimables "laitages" de l'automne. "Il coule en mon coeur la chaude liqueur d'la treille." Pareil tonton Georges ! Idem !
Mais quand je vois ce rince-évier cauteleux de Jean Louis Borloo, ce miséreux faux-jeton qu'on voit par les bars chanceler sa silhouette boursoufflée de prélat hypocrite, qui rabroue, avec quel courage, Nathalie Kosciusko-Morizet; ya de quoi gerber sur la phallocratie briochée des grands flandrins de l'assemblée ! Lâches !
Certes, il n'était pas impossible de croire que ce fameux Grenelle de l'environnement n'était qu'une tartufferie supplémentaire de la part de ces empêcheurs de buller en rond ! Certes ! Mais de là à les voir, tous ces beaux mâles consternants qui pérorent comme on pousse un étron, faire avaler à la donzelle autant de couleuvres larvées, et notamment sur les OGM, ça frise l'incontinence ministérielle et la piètre misogynie qu'on pouvait croire immémoriale. Naif que je suis !
Aaaah Nathalie ! Mais fous-leur ton poing sur la gueule ! Merde ! Tout d'abord, et sans mauvaise foi, je me demande comment une femme peut sincèrement être de droite et croire qu'elle puisse "ministrer" avec une totale liberté ? Non franchement ! Tout le monde sait qu'un politicien droitier n'imagine la gente féminine qu'entre le fourneau et l'évier, et souvent sujette docilement à la position du missionnaire ! Il semblerait même qu'ils mangent les enfants ! Si si ! Alors ma petite Nathalie, qu'est-ce que tu attends pour envoyer chier ces péteux condescendants ? T'as vu la tronche de Coppé ? Non mais t'as vu ?! Tu ne vas tout de même t'aligner face à ce sourire de pharisien constipé ?! Je ne peux le croire !
Quant à Borloo ? Rien de plus simple ! Tu prends un bon gros épi de maïs bien "ogéméisé". Tu vois ? Tu l'enduis bien partout d'huile de palme. Non ! Tout compte fait, tu ne l'enduis pas ! Ca serait trop facile ! Bon, tu prends donc cet épi, brillant et gonflé à bloc, gorgé de soleil, luisant. Tu vois où je veux en venir ? Hein ? Parfait ! Tu attends patiemment au comptoir de l'Assemblée Nationale, et quand je dis patiemment, tu verras que l'attente sera de courte durée. Bon ! Te voilà, gaie et enjouée, avec ton épi dans la main droite (C'est mieux pour la conviction !), et le dossier des OGM dans la main gauche. Voilà Borloo. Patience. Comme à son habitude, il commandera son pastis quotidien. Et là, tu fais tomber ton dossier à terre. Comme tous les mecs de droite sont machos, donc hypocritement courtois, il se baissera pour le ramasser en usant d'une formule à la con du style : "ça ne pousse pas ! Hin Hin !". Et là ! PAF !
- AAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !
- Bien l'bonjour Jean Loulou !
Si tu l'fais, je t'épouse !