L'almanachronique du 14 août !
Hello les blogos ! Gouzigouzi la blogose !
Cette chronique sera des plus belles : elle causera des vacances ! L'homme ne pense qu'à ça. C'est même chez lui une idée fixe. Tout serait plus simple, évidemment, si Dieu avait mieux fait les choses. S'il avait insufflé chez l'homme autre chose que la passion du travail, qui lui prend l'essentiel de son temps, si tout était resté comme au premier jour. Profiter d'un lever de soleil, de la rosée matinale, des "souris mélomanes" qui flattent la chèvre musicienne et qui épargnent le chou bémol, jouir d'une étoile de mer filante, de l'ombre impénétrable d'un chêne centenaire, du cri ingénieux d'un hérisson pour combattre la sinusite, savourer le vent dans les chardons, la pluie sur un cul blanc, l'ambre et le rosier du rossignol grimpant. Et même l'absence de beurre dans le trou de macaroni ! C'est étonnant. Etonnant que l'homme ait à ce point chéri plus le travail, et sa susceptibilité libérale, que des loisirs infinis où les ondulations harmonieusement lascives des paupières emplissent l'âme d'une aimable douceur. C'est peu de dire que l'homme est malheureux. Mais il l'a bien cherché. Depuis la nuit des temps. Pour se consoler, il s'octroie d'infimes temps de repos. Il subit le sort indigent dont il est lui-même l'instigateur. La force des traditions.
Une tradition que je vais également m'accorder. L'inactivité à son point le plus ultime. Le relâchement intellectuel, la quiétude des instants immobiles. Sérénité, détente et calme. L'almanachronique se relaxe, elle prend du repos, se délasse. C'est le moment. Il est temps. Il est plus que temps. Allez hop ! On s'tire ! Relâche ! C'est la trêve !
La trêve des confits d'oie plus que des confiseurs. Gers oblige !
Je vous embrasse et vous donne rendez-vous le 1° septembre.
Oserai-je l'avouer ? Je crois à votre fidélité et votre retour septembral en cette almanachronique universelle et modestement géniale.
A la revoyure !
Cette chronique sera des plus belles : elle causera des vacances ! L'homme ne pense qu'à ça. C'est même chez lui une idée fixe. Tout serait plus simple, évidemment, si Dieu avait mieux fait les choses. S'il avait insufflé chez l'homme autre chose que la passion du travail, qui lui prend l'essentiel de son temps, si tout était resté comme au premier jour. Profiter d'un lever de soleil, de la rosée matinale, des "souris mélomanes" qui flattent la chèvre musicienne et qui épargnent le chou bémol, jouir d'une étoile de mer filante, de l'ombre impénétrable d'un chêne centenaire, du cri ingénieux d'un hérisson pour combattre la sinusite, savourer le vent dans les chardons, la pluie sur un cul blanc, l'ambre et le rosier du rossignol grimpant. Et même l'absence de beurre dans le trou de macaroni ! C'est étonnant. Etonnant que l'homme ait à ce point chéri plus le travail, et sa susceptibilité libérale, que des loisirs infinis où les ondulations harmonieusement lascives des paupières emplissent l'âme d'une aimable douceur. C'est peu de dire que l'homme est malheureux. Mais il l'a bien cherché. Depuis la nuit des temps. Pour se consoler, il s'octroie d'infimes temps de repos. Il subit le sort indigent dont il est lui-même l'instigateur. La force des traditions.Une tradition que je vais également m'accorder. L'inactivité à son point le plus ultime. Le relâchement intellectuel, la quiétude des instants immobiles. Sérénité, détente et calme. L'almanachronique se relaxe, elle prend du repos, se délasse. C'est le moment. Il est temps. Il est plus que temps. Allez hop ! On s'tire ! Relâche ! C'est la trêve !
La trêve des confits d'oie plus que des confiseurs. Gers oblige !
Je vous embrasse et vous donne rendez-vous le 1° septembre.
Oserai-je l'avouer ? Je crois à votre fidélité et votre retour septembral en cette almanachronique universelle et modestement géniale.
A la revoyure !