L'almanachronique du 25 septembre
Hello les blogos ! Grattt Grattt la blogose !
Rien n'est plus urgent que de rétablir le génocide ! Oui, vous allez me dire que je commence assez violemment aujourd'hui. Certes. Mais l'heure est grave. Et face au problème qui nous incombe, le génocide pourrait aisément passer pour une aimable taquinerie, une galéjade bonhomme propre à seulement amuser la galerie ! Car oui, et je le répète, l'heure est grave !! Et cette nuit dernière, une nuit cauchemardesque et exécrable, à elle seule, peut témoigner du combat terrifiant qui nous attend. Horrible vous dis-je, épouvantable, à donner la chair de poule, si ce n'était bien plus sinistre !
Ploum Ploum !
Mesdames, Messieurs, mes chers confrères, mes presque morts, hypothétiques et éventuels malades et cacochymes cariés, connaissez-vous l'aoûtat ? Oubliez l'insignifiant cancer, le ténu Alzheimer, la dérisoire mucoviscidose, le négligeable et mesquin Sida, oubliez tout ça ! L'aoûtat est bien plus terrible que ces ridicules pantominiques altérations organiques. Mais qu'est-ce que l'aoûtat ? L'aoûtat, ou trombinium, encore nommé vendangeron, est une nymphe de trombicula automnalis, un acarien, bien plus sordide que la tique et plus térébrant que la puce. Un être abject, méprisable, qui, comme la tique précédemment citée, vit dans les herbes, en vos gazons verdoyants, attendant ignominieusement le pauvre con qui passe pour lui sauter à la gueule et lui pomper le dard. Ce gros con de parasite se glisse sournoisement dans les plis et replis de la peau, intérieurs des coudes, des genoux et sous les bras. Ainsi tranquillement installé, insidieusement microscopique, il vous dévore alors sans retenue, vous mastique l'épiderme, vous ronge la couenne, vous tortore le cuir. Rien ne résiste ! Ce qui provoque à la longue d'insupportables envenimations, d'irrésistibles démangeaisons très vives, pour terminer par d'obscures lésions prurigineuses. Très joli adjectif que celui de prurigineuse, mais quand celui-ci s'associe à une démangeaison, le charme n'opère plus. L'irritation est vive, acerbe, incisive, à tel point que l'on croit celle-ci éternelle et à jamais aigue. Une longue souffrance qui peut aller jusqu'à provoquer la fièvre fuviale du Japon ! LA FIEVRE FUVIALE ! DU JAPON ! Horreur, malheur ! Mais qu'attend-on pour hiroshimiser à nouveau ces nippons à grands coups de surimis dans leurs haïkus !!?!! Allez hop ! BOUM ! Mais revenons à l'aoûtat ! Au même titre que la gaie guêpe, le fénelon frelon, il est temps de génocider ces nymphes ! Comment ? C'est simple. Afin de calmer les démangeaisons de ces putes atrabilaires, il est recommandé de prendre une douche chaude en se frictionnant avec du savon de Marseille. Or donc, je préconnise une pulvérisation massive de nos campagnes de ce savon marseillais, à l'huile d'olive, avec acide octadécène-9-oïque ! Et Pfffuiii ! A la ramasse les aoûtats ! Oïquer jusqu'à l'os ! Hin Hin ! Non mais ! Quoi le Grenelle de l'environnement ? Si vous saviez à quel point je me fous de ce Grenelle à la mords-moi l'noeud ! Et franchement, à y regarder de plus près, je ne suis pas le seul ! Ah Ah ! Mes douces nuits valent bien mieux que vos beaux jours, qui déclinent franchement.
Non mais !
Rien n'est plus urgent que de rétablir le génocide ! Oui, vous allez me dire que je commence assez violemment aujourd'hui. Certes. Mais l'heure est grave. Et face au problème qui nous incombe, le génocide pourrait aisément passer pour une aimable taquinerie, une galéjade bonhomme propre à seulement amuser la galerie ! Car oui, et je le répète, l'heure est grave !! Et cette nuit dernière, une nuit cauchemardesque et exécrable, à elle seule, peut témoigner du combat terrifiant qui nous attend. Horrible vous dis-je, épouvantable, à donner la chair de poule, si ce n'était bien plus sinistre !
Ploum Ploum !
Mesdames, Messieurs, mes chers confrères, mes presque morts, hypothétiques et éventuels malades et cacochymes cariés, connaissez-vous l'aoûtat ? Oubliez l'insignifiant cancer, le ténu Alzheimer, la dérisoire mucoviscidose, le négligeable et mesquin Sida, oubliez tout ça ! L'aoûtat est bien plus terrible que ces ridicules pantominiques altérations organiques. Mais qu'est-ce que l'aoûtat ? L'aoûtat, ou trombinium, encore nommé vendangeron, est une nymphe de trombicula automnalis, un acarien, bien plus sordide que la tique et plus térébrant que la puce. Un être abject, méprisable, qui, comme la tique précédemment citée, vit dans les herbes, en vos gazons verdoyants, attendant ignominieusement le pauvre con qui passe pour lui sauter à la gueule et lui pomper le dard. Ce gros con de parasite se glisse sournoisement dans les plis et replis de la peau, intérieurs des coudes, des genoux et sous les bras. Ainsi tranquillement installé, insidieusement microscopique, il vous dévore alors sans retenue, vous mastique l'épiderme, vous ronge la couenne, vous tortore le cuir. Rien ne résiste ! Ce qui provoque à la longue d'insupportables envenimations, d'irrésistibles démangeaisons très vives, pour terminer par d'obscures lésions prurigineuses. Très joli adjectif que celui de prurigineuse, mais quand celui-ci s'associe à une démangeaison, le charme n'opère plus. L'irritation est vive, acerbe, incisive, à tel point que l'on croit celle-ci éternelle et à jamais aigue. Une longue souffrance qui peut aller jusqu'à provoquer la fièvre fuviale du Japon ! LA FIEVRE FUVIALE ! DU JAPON ! Horreur, malheur ! Mais qu'attend-on pour hiroshimiser à nouveau ces nippons à grands coups de surimis dans leurs haïkus !!?!! Allez hop ! BOUM ! Mais revenons à l'aoûtat ! Au même titre que la gaie guêpe, le fénelon frelon, il est temps de génocider ces nymphes ! Comment ? C'est simple. Afin de calmer les démangeaisons de ces putes atrabilaires, il est recommandé de prendre une douche chaude en se frictionnant avec du savon de Marseille. Or donc, je préconnise une pulvérisation massive de nos campagnes de ce savon marseillais, à l'huile d'olive, avec acide octadécène-9-oïque ! Et Pfffuiii ! A la ramasse les aoûtats ! Oïquer jusqu'à l'os ! Hin Hin ! Non mais ! Quoi le Grenelle de l'environnement ? Si vous saviez à quel point je me fous de ce Grenelle à la mords-moi l'noeud ! Et franchement, à y regarder de plus près, je ne suis pas le seul ! Ah Ah ! Mes douces nuits valent bien mieux que vos beaux jours, qui déclinent franchement.
Non mais !