L'almanachronique du 18 février
Hello les blogos ! Mfff Mffff la blogose !
Et voilà ! Il fallait qu'ça arrive ! Et dire que secrètement j'avais décidé de ne plus jamais évoquer en cette almanachronique, pour le repos spirituel de ma mère, l'intérêt, voire même la passion, que je porte envers une matière organique qui nous rend tous égaux devant l'Eternel; je veux parler de la matière fécale, plus communément appelée la merde ! Je suis assez pipi-caca dans le genre ! Cela doit sûrement venir de mes lectures d'antan, quand j'étais un gone gnome, et que fébrilement j'attendais mon Hara-Kiri hebdomadaire, la main dans la culotte de ma soeur. Mais voilà, l'actualité est ainsi faite, dans sa quotidienneté folle, que parfois, sans crier gare, elle vous rattrape violemment en vous assénant son flot ininterrompu d'inepties inopinées.
Hier donc, alors que blanchissait nulle campagne, un vieux croûton, cacochyme boursouflé au botox, est réapparu à l'horizon. Je l'avais presque oublié, je le croyais mort et enterré, médiatiquement parlant tout du moins. Et puis non ! La lucilie est toujours vivante ! Pour les plus jeunes et les béotiens, la lucilie est le nom artificieux de la mouche à merde. Une lucilie décrépite, délabrée et sénile qui se fait appeler, pour masquer l'odeur et attirer le journaliste primitif, Jacques Séguéla. Ah Jacques Séguéla ! Gominé par le croupion de quelques vieilles putes qui ont depuis longtemps arrêté d'enlever le bas, Jacques Séguéla est une glande uropygienne catalane qui fait dans la publicité, au même titre qu'un Jack Lang finissant à langue de Blois qui lui fait dans le souvenir panégyrique. Ce petit monsieur donc, a déclaré, lors d'une interview toujours insipide, et à propos du bling-bling présidentiel : " Si à 50 ans, on n'a pas de Rollex, c'est qu'on a raté sa vie ! "
Aaaaah Jacques Séguéla ! S'il n'existait pas, il faudrait le déféquer. C'est avec des phrases comme ça que tous les matins je me dis que ce monde vaut le coup de...
Merde ! J'ai envie de...
Faut qu'j'y aille !
Et voilà ! Il fallait qu'ça arrive ! Et dire que secrètement j'avais décidé de ne plus jamais évoquer en cette almanachronique, pour le repos spirituel de ma mère, l'intérêt, voire même la passion, que je porte envers une matière organique qui nous rend tous égaux devant l'Eternel; je veux parler de la matière fécale, plus communément appelée la merde ! Je suis assez pipi-caca dans le genre ! Cela doit sûrement venir de mes lectures d'antan, quand j'étais un gone gnome, et que fébrilement j'attendais mon Hara-Kiri hebdomadaire, la main dans la culotte de ma soeur. Mais voilà, l'actualité est ainsi faite, dans sa quotidienneté folle, que parfois, sans crier gare, elle vous rattrape violemment en vous assénant son flot ininterrompu d'inepties inopinées.
Hier donc, alors que blanchissait nulle campagne, un vieux croûton, cacochyme boursouflé au botox, est réapparu à l'horizon. Je l'avais presque oublié, je le croyais mort et enterré, médiatiquement parlant tout du moins. Et puis non ! La lucilie est toujours vivante ! Pour les plus jeunes et les béotiens, la lucilie est le nom artificieux de la mouche à merde. Une lucilie décrépite, délabrée et sénile qui se fait appeler, pour masquer l'odeur et attirer le journaliste primitif, Jacques Séguéla. Ah Jacques Séguéla ! Gominé par le croupion de quelques vieilles putes qui ont depuis longtemps arrêté d'enlever le bas, Jacques Séguéla est une glande uropygienne catalane qui fait dans la publicité, au même titre qu'un Jack Lang finissant à langue de Blois qui lui fait dans le souvenir panégyrique. Ce petit monsieur donc, a déclaré, lors d'une interview toujours insipide, et à propos du bling-bling présidentiel : " Si à 50 ans, on n'a pas de Rollex, c'est qu'on a raté sa vie ! "
Aaaaah Jacques Séguéla ! S'il n'existait pas, il faudrait le déféquer. C'est avec des phrases comme ça que tous les matins je me dis que ce monde vaut le coup de...
Merde ! J'ai envie de...
Faut qu'j'y aille !