L'almanachronique du 24 juin
Hello les blogos ! Cui Cui Ksss Ksss la blogose !
C'est la Saint Jean !
Rien ne va plus ! Faites vos feux !
Oyez Oyez braves gens ! Videz vos armoires, chargez vos mules, soyez pamphlétaires et subversifs, grattez vos allumettes et foutez le feu ! C'est la grande liesse des lésés, des frustrés et des déçus nostalgiques ! L'incandescente fête des frondeurs, des hâbleurs, des besogneux, des gueux, des réprouvés, des mendiants rivalisant de tares, des séditieux et des contestataires ! Brûlez, embrasez, roussissez, incendiez !
Faites de hauts tas, amassez vos nourritures peu terrestres et célébrez la libido sentiendi ! Il est temps d'enflammer les exclamations tues, les flétrissures amnésiques, les satisfactions vénales et les immatérialités factices !
Brûlons l'immondice et la morale !
Fi du paradoxe et de l'incohérence ! Les sophistes seront les éclaireurs !
Dansons la Carmagnole ! Vive le son du canon !
Et quoi brûler ? Oui quoi ?
La somme des choix est considérable. Et la liste est discordante et plurielle.
Alors quoi ou qui ?
Je ne saurais que vous conseillez l'une des recettes les plus éminentes d'un bon feu de Saint Jean, selon Ernesto Bakounine Kropotkine de Proudhon, remaniée et mise au goût du jour :
" Têtes de bois et fétus de paille du voisin, coeurs asséchés, sèches gorgones, armoires déglacées, esthètes à cul, singes nus et tatous de rien, foireux diafoirus ès-sobriété, ministres socratiens, tables rondes, caqueteurs du CAC40, moralistes incontinents et végétaliens indigents, buveurs d'eau, rimailleurs consensuels, chaises musicales de mauvais ton, rampants de Médicis, baveurs baveux, tous les ambitieux, les césars de la gaule, les trépassés nostalgiques, les nationalistes internationaux, les bottes à la botte, les metteurs en cène et les sénateurs démis, suceurs sanguinaires, trompes avides et roturiers terreux. "
Grattez une allumette ! Flambez le tout !
Rien ne va plus ! Faites vos feux !
C'est la Saint Jean !
Rien ne va plus ! Faites vos feux !
Oyez Oyez braves gens ! Videz vos armoires, chargez vos mules, soyez pamphlétaires et subversifs, grattez vos allumettes et foutez le feu ! C'est la grande liesse des lésés, des frustrés et des déçus nostalgiques ! L'incandescente fête des frondeurs, des hâbleurs, des besogneux, des gueux, des réprouvés, des mendiants rivalisant de tares, des séditieux et des contestataires ! Brûlez, embrasez, roussissez, incendiez !
Faites de hauts tas, amassez vos nourritures peu terrestres et célébrez la libido sentiendi ! Il est temps d'enflammer les exclamations tues, les flétrissures amnésiques, les satisfactions vénales et les immatérialités factices !
Brûlons l'immondice et la morale !
Fi du paradoxe et de l'incohérence ! Les sophistes seront les éclaireurs !
Dansons la Carmagnole ! Vive le son du canon !
Et quoi brûler ? Oui quoi ?
La somme des choix est considérable. Et la liste est discordante et plurielle.
Alors quoi ou qui ?
Je ne saurais que vous conseillez l'une des recettes les plus éminentes d'un bon feu de Saint Jean, selon Ernesto Bakounine Kropotkine de Proudhon, remaniée et mise au goût du jour :
" Têtes de bois et fétus de paille du voisin, coeurs asséchés, sèches gorgones, armoires déglacées, esthètes à cul, singes nus et tatous de rien, foireux diafoirus ès-sobriété, ministres socratiens, tables rondes, caqueteurs du CAC40, moralistes incontinents et végétaliens indigents, buveurs d'eau, rimailleurs consensuels, chaises musicales de mauvais ton, rampants de Médicis, baveurs baveux, tous les ambitieux, les césars de la gaule, les trépassés nostalgiques, les nationalistes internationaux, les bottes à la botte, les metteurs en cène et les sénateurs démis, suceurs sanguinaires, trompes avides et roturiers terreux. "
Grattez une allumette ! Flambez le tout !
Rien ne va plus ! Faites vos feux !