L'almanachronique du 3 septembre
Hello les blogos ! Houps la blogose !
Cet été, à l'exception de quelques jours d'orage au milieu du mois d'août, le Gers fut d'une douceur incomparable. Je veux bien évidemment parler de l'aspect météorologique de ce département qui nous donne, outre tout l'art maniaque d'artistes édifiants, le gras foie et la carotte bitophile pour amatrices acnéiques et girondes.
Mais toute cette douceur enviable, et peu angevine, ne saurait éviter de passer sous silence une plaie sociétale qui dérange et qui rend la vie intenable. Je veux parler de l'insécurité.
Cette insécurité, chère à Brice, qui s'immisce sournoisement dans notre quotidien, même en campagne, et qui nous transforme petit à petit en des bêtes apeurées, prêtes à prendre les armes et la poudre d'escampette, pour les plus lâches d'entre nous.
Oui aimables gueux, l'insécurité est partout ! J'ai moi-même été confronté à ce fléau indéniable. Pensez-donc, ici, en ce Gers loin de toute industrie, de toute banlieue moribonde où les architectes vomissent un talent innommable; l'insécurité est quotidienne. Entre les hordes de phacochères barbares qui se jettent sur nos tristes voitures et les moustiques aux trompes fallacieuses longues comme mon dard dru, la violence est exhaustive. Et que dire du fourbe paysan, sale comme un trou de nez de coureur marathonien ! Hein ? Vous ne pouvez imaginer sa brutalité véhémente. C'est un monstre ! Un monstre sanguinaire à coté duquel le flic de banlieue passe pour un aimable coiffeur pour dames. Non seulement, ce paysan, crotté au gré de sa fantaisie bousière, vous pulvérise la gueule à grands coups d'arrosage intempestif, mais, également, il conduit des engins pour le moins dangeureux, pour ne pas dire meurtriers. Des sortes de spationefs aux lignes acérées qui ne vous laissent aucune chance, si ce n'est les bas-côtés où le crapaud vaque. Sans compter que le bougre parle ! Oui il parle ! Et dire que l'on crie au crime, à l'assassinat face à l'étriqué H1N1 de petite autorité. Je pouffe ! Qui n'a pas connu les postillons moisis et faisandés d'un vil bouseux à l'accent terreux, ne peut connaître l'horreur insondable des germes sournois, véritables succubes ogresques ! Un simple dialogue avec un péquenaud vous promet une mort certaine. L'horreur, vous dis-je !
Alors, l'insécurité des villes, pensez-vous, ça me fait doucement rigoler !
Mais que fait la police ?
Cet été, à l'exception de quelques jours d'orage au milieu du mois d'août, le Gers fut d'une douceur incomparable. Je veux bien évidemment parler de l'aspect météorologique de ce département qui nous donne, outre tout l'art maniaque d'artistes édifiants, le gras foie et la carotte bitophile pour amatrices acnéiques et girondes.
Mais toute cette douceur enviable, et peu angevine, ne saurait éviter de passer sous silence une plaie sociétale qui dérange et qui rend la vie intenable. Je veux parler de l'insécurité.
Cette insécurité, chère à Brice, qui s'immisce sournoisement dans notre quotidien, même en campagne, et qui nous transforme petit à petit en des bêtes apeurées, prêtes à prendre les armes et la poudre d'escampette, pour les plus lâches d'entre nous.
Oui aimables gueux, l'insécurité est partout ! J'ai moi-même été confronté à ce fléau indéniable. Pensez-donc, ici, en ce Gers loin de toute industrie, de toute banlieue moribonde où les architectes vomissent un talent innommable; l'insécurité est quotidienne. Entre les hordes de phacochères barbares qui se jettent sur nos tristes voitures et les moustiques aux trompes fallacieuses longues comme mon dard dru, la violence est exhaustive. Et que dire du fourbe paysan, sale comme un trou de nez de coureur marathonien ! Hein ? Vous ne pouvez imaginer sa brutalité véhémente. C'est un monstre ! Un monstre sanguinaire à coté duquel le flic de banlieue passe pour un aimable coiffeur pour dames. Non seulement, ce paysan, crotté au gré de sa fantaisie bousière, vous pulvérise la gueule à grands coups d'arrosage intempestif, mais, également, il conduit des engins pour le moins dangeureux, pour ne pas dire meurtriers. Des sortes de spationefs aux lignes acérées qui ne vous laissent aucune chance, si ce n'est les bas-côtés où le crapaud vaque. Sans compter que le bougre parle ! Oui il parle ! Et dire que l'on crie au crime, à l'assassinat face à l'étriqué H1N1 de petite autorité. Je pouffe ! Qui n'a pas connu les postillons moisis et faisandés d'un vil bouseux à l'accent terreux, ne peut connaître l'horreur insondable des germes sournois, véritables succubes ogresques ! Un simple dialogue avec un péquenaud vous promet une mort certaine. L'horreur, vous dis-je !
Alors, l'insécurité des villes, pensez-vous, ça me fait doucement rigoler !
Mais que fait la police ?