L'almanachronique du 11 octobre
Hello les blogos ! Burp, hips, glouglou la blogose !
Comme le disait Chaval, et comme j'aime à le répéter dès que je rencontre ces petits êtres franchement demeurés qu'on appelle enfants : " Qu'ils sont cons ces oiseaux ! " C'est vrai ça ! Les oiseaux sont des cons ! On ne le dira jamais assez. Ces vertébrés ovipares nous les cassent ! Qu'ils soient oisillons, oiselets, en pleine possession de leurs vibrisses, crêteux, musiciens, de passage, nicheurs, en volière, gallinacés ou sur des échasses, métalliques, beaux parleurs, à la volée, mythologiques; les oiseaux sont cons ! Qu'ils aient un bec crochu, long et grêle, court, conique, en ciseaux, bêtement croisé, pointu ou aplati; les oiseaux sont toujours aussi cons ! Il ne faut pas sortir de la cuisse de Jupiler, hips, pour en faire l'amer constat. Le coucou est au pic de la connerie volatile avec son chant itératif et tondu, le flamant est rosse, la mouette assez sterne, le héron est carrément bécasse, la spatule est louche, le perroquet pérore et il n'y a pie corbeau que celui qui croasse aux corneilles ! Et la chouette ? C'est pas pour dire mais elle effraie ! Et puis de toute façon, la chouette Minerve ! Vous ne pouvez pas savoir à quel point ! Non, soyons sérieux et regardons les choses comme elles sont, les oiseaux sont des cons ! Une preuve supplémentaire ? Mais il suffit de regarder ce qui se passe en ce moment même. La migration. C'est-il pas une preuve radicale d'une connerie atavique ? Dès qu'ça pèle, les cons s'tirent ! Mais regardez-les ces trouducs qui se réunissent pour aller se dorer la pilule dans des pays à la con où jamais il ne pleut ! Regardez l'hirondelle ! Ya pas plus débile comme volaille ! Elle se met en ligne comme ses consoeurs sur des lignes téléphoniques, attendant le déclic pour décrocher. Mais barrez-vous les gonzesses ! Barrez-vous dans les pays chauds les peu chaudasses ! Tiens, en parlant de l'hirondelle, oublions l'ovipare décérébré, évoquons aujourd'hui les nids d'hirondelles. Pas ceux-sse des chinetoques mucilagineux, non, les nids d'hirondelles, un mets fort goûteux mes chers épicuriens persillés et que l'on doit à ma grand-mère, annoté à la plume d'oie, à la page trente-quatre de son recueil gastronomique.
Ploum Ploum.
Mes bandeurs mous, prenez des oeufs durs. Des durs à cuire hardis, des loulous coriaces, des impétueux qui s'la racontent pas ! Des oeufs durs quoi ! Enveloppez-les d'une tranche de jambon. Puis, enveloppez le tout d'une belle escalope. De veau l'escalope ! Non parce qu'il y a des incontinents de la glotte qui croient que l'escalope est de poulet ou de dinde ! Ha Ha ! Les cons ! Ou pauvres ! C'est pire ! Bref ! Cuire le tout en cocotte fermée. Une fois cuit, roussi et juteux, coupez par le milieu et saupoudrez de persil. Hmmmmmmm !
Alors ? C'est-y pas merveilleux ? Hein ?
En plus il fait beau...
Y sont cons ces oiseaux de se barrer...
Comme le disait Chaval, et comme j'aime à le répéter dès que je rencontre ces petits êtres franchement demeurés qu'on appelle enfants : " Qu'ils sont cons ces oiseaux ! " C'est vrai ça ! Les oiseaux sont des cons ! On ne le dira jamais assez. Ces vertébrés ovipares nous les cassent ! Qu'ils soient oisillons, oiselets, en pleine possession de leurs vibrisses, crêteux, musiciens, de passage, nicheurs, en volière, gallinacés ou sur des échasses, métalliques, beaux parleurs, à la volée, mythologiques; les oiseaux sont cons ! Qu'ils aient un bec crochu, long et grêle, court, conique, en ciseaux, bêtement croisé, pointu ou aplati; les oiseaux sont toujours aussi cons ! Il ne faut pas sortir de la cuisse de Jupiler, hips, pour en faire l'amer constat. Le coucou est au pic de la connerie volatile avec son chant itératif et tondu, le flamant est rosse, la mouette assez sterne, le héron est carrément bécasse, la spatule est louche, le perroquet pérore et il n'y a pie corbeau que celui qui croasse aux corneilles ! Et la chouette ? C'est pas pour dire mais elle effraie ! Et puis de toute façon, la chouette Minerve ! Vous ne pouvez pas savoir à quel point ! Non, soyons sérieux et regardons les choses comme elles sont, les oiseaux sont des cons ! Une preuve supplémentaire ? Mais il suffit de regarder ce qui se passe en ce moment même. La migration. C'est-il pas une preuve radicale d'une connerie atavique ? Dès qu'ça pèle, les cons s'tirent ! Mais regardez-les ces trouducs qui se réunissent pour aller se dorer la pilule dans des pays à la con où jamais il ne pleut ! Regardez l'hirondelle ! Ya pas plus débile comme volaille ! Elle se met en ligne comme ses consoeurs sur des lignes téléphoniques, attendant le déclic pour décrocher. Mais barrez-vous les gonzesses ! Barrez-vous dans les pays chauds les peu chaudasses ! Tiens, en parlant de l'hirondelle, oublions l'ovipare décérébré, évoquons aujourd'hui les nids d'hirondelles. Pas ceux-sse des chinetoques mucilagineux, non, les nids d'hirondelles, un mets fort goûteux mes chers épicuriens persillés et que l'on doit à ma grand-mère, annoté à la plume d'oie, à la page trente-quatre de son recueil gastronomique.
Ploum Ploum.
Mes bandeurs mous, prenez des oeufs durs. Des durs à cuire hardis, des loulous coriaces, des impétueux qui s'la racontent pas ! Des oeufs durs quoi ! Enveloppez-les d'une tranche de jambon. Puis, enveloppez le tout d'une belle escalope. De veau l'escalope ! Non parce qu'il y a des incontinents de la glotte qui croient que l'escalope est de poulet ou de dinde ! Ha Ha ! Les cons ! Ou pauvres ! C'est pire ! Bref ! Cuire le tout en cocotte fermée. Une fois cuit, roussi et juteux, coupez par le milieu et saupoudrez de persil. Hmmmmmmm !
Alors ? C'est-y pas merveilleux ? Hein ?
En plus il fait beau...
Y sont cons ces oiseaux de se barrer...