L'almanachronique du 12 mars
Hello les blogos ! Aaaaaaaaah ! Enfin la blogose !
Je finissais par désespérer ! Le monde est tel, ébranlé, confus, sens dessus dessous, débraillé, incohérent, qu'il est pratiquement impossible de l'analyser, ni de l'étudier d'un quelconque point de vue sociologique ou ethnologique. Les frontières, qu'elles soient géographiques, sociales ou autres, s'entremêlent, s'entrechoquent, jusqu'à devenir une nébuleuse obscure et impénétrable. On ne sait plus à quel saint se vouer, ni même à quelle bourse. Les questions restent sans réponses, les assertions sans critiques, les controverses sans épilogues.
On ne sait plus ce que c'est que d'être riche, ni pauvre. Du jour au lendemain, on se fait virer, larguer, expulser, enfermer, dénoncer, filmer, botoxer, lécher, lâcher et lyncher. Un jour, le vin est salutaire, un autre jour, celui-ci est hautement cancérigène. Nos enfants sont de chères têtes blondes, le lendemain, ce sont des monstres sanguinaires sans foi ni loi, alcooliques et défoncés. Le sport est peuplé de toxicomanes parvenus, le Pôle emploi de branleurs iniques et la politique d'abrutis législateurs. Tout va à vau-l'eau, tout est déséquilibré, disproportionné, inégal et complexe. Voire trop simpliste.
Bref, un peu d'équilibre ferait le plus grand bien !
Et paf ! Voilà qu'aujourd'hui, tout s'harmonise. Sans crier gare. Le monde retrouve une symétrie, une stabilité heureuse. Enfin l'équilibre, bien bâti, raisonnable. On en avait bien besoin. Je ne parle pas des vacances fastueuses de Sarkozy chez un narcotrafiquant, ni des retrouvailles de Bill Gates avec la première place chez les nantis. Non.
Je parle d'un équilibre plus conséquent, plus majeur. Un équilibre vital et retrouvé.
Il fait beau dans le Sud, il pleut dans le Nord !
Enfin bordel !!!!!!!
Je finissais par désespérer ! Le monde est tel, ébranlé, confus, sens dessus dessous, débraillé, incohérent, qu'il est pratiquement impossible de l'analyser, ni de l'étudier d'un quelconque point de vue sociologique ou ethnologique. Les frontières, qu'elles soient géographiques, sociales ou autres, s'entremêlent, s'entrechoquent, jusqu'à devenir une nébuleuse obscure et impénétrable. On ne sait plus à quel saint se vouer, ni même à quelle bourse. Les questions restent sans réponses, les assertions sans critiques, les controverses sans épilogues.
On ne sait plus ce que c'est que d'être riche, ni pauvre. Du jour au lendemain, on se fait virer, larguer, expulser, enfermer, dénoncer, filmer, botoxer, lécher, lâcher et lyncher. Un jour, le vin est salutaire, un autre jour, celui-ci est hautement cancérigène. Nos enfants sont de chères têtes blondes, le lendemain, ce sont des monstres sanguinaires sans foi ni loi, alcooliques et défoncés. Le sport est peuplé de toxicomanes parvenus, le Pôle emploi de branleurs iniques et la politique d'abrutis législateurs. Tout va à vau-l'eau, tout est déséquilibré, disproportionné, inégal et complexe. Voire trop simpliste.
Bref, un peu d'équilibre ferait le plus grand bien !
Et paf ! Voilà qu'aujourd'hui, tout s'harmonise. Sans crier gare. Le monde retrouve une symétrie, une stabilité heureuse. Enfin l'équilibre, bien bâti, raisonnable. On en avait bien besoin. Je ne parle pas des vacances fastueuses de Sarkozy chez un narcotrafiquant, ni des retrouvailles de Bill Gates avec la première place chez les nantis. Non.
Je parle d'un équilibre plus conséquent, plus majeur. Un équilibre vital et retrouvé.
Il fait beau dans le Sud, il pleut dans le Nord !
Enfin bordel !!!!!!!