L'almanachronique du 4 mai
Hello les blogos ! Wirf Wirf la blogose !
Un Mexicain enrhuméééééééé
Est allongé sur le sol
Le sombrero sur le neeeeeeez
En guise, en guise, en guise, en guise de paracétamol...
Psychose à tout va ! Psychose à tous les étages ! Psychose autour d'une grippe mexicaine, anciennement grippe porcine, qui devient grippe H1N1, ou grippe A ! On en perdrait son latin s'il n'était à ce point latent ! Ma qué dé diù !
Mais lâchez-nous la grappe avec vos piaillements grippeux les crêteux ! Merde ! Et laissez-nous crever peinard ! D'autant qu'il y a bien des façons jolies et distinctes de passer de vie à trépas autrement que par une grippe dramatiquement médiatique !
Tenez par exemple, la répétition.
Et oui ! La répétition ! La répétition ! La répétition ! La répétition ! Vous voyez où je veux en venir ? Ya rien de plus chiant qu'la répétition, et rien de plus mortel ! La répétition, la répétition, la répétition, la répétition ! Les répétitions continuelles et lassantes, les répétitions quotidiennes !
Prenons le cas Sarkozy. Cette semaine nous fêtons, disons nous distinguons, les deux ans de pouvoir présidentiel du petit Nicolas. Alors là pour le coup, question répétition, on frise l'apoplexie générale. Le rabâchage est redondant, la rengaine est assonante, le radotage est itératif ! Et cela pose un problème, plutôt cornélien dans le choix : celui de se taire ou celui d'en parler ( ? ).
Comment "mettre en scène" un metteur en scène ? Là est la question. Comment parler d'un beau parleur qui ne cherche en définitive qu'à faire parler de lui ? Ardu ! Comment critiquer ce qu'il faudrait ignorer ?
Le meilleur moyen, me semble-t-il, est de parier sur la culture et l'intelligence des uns et des autres.
L'almanachronique vous en offre les moyens, en publiant aujourd'hui, les paroles de Sarkozy, petit florilège non-exhaustif, illustrées par l'exemple.
Putain deux ans !
Un Mexicain enrhuméééééééé
Est allongé sur le sol
Le sombrero sur le neeeeeeez
En guise, en guise, en guise, en guise de paracétamol...
Psychose à tout va ! Psychose à tous les étages ! Psychose autour d'une grippe mexicaine, anciennement grippe porcine, qui devient grippe H1N1, ou grippe A ! On en perdrait son latin s'il n'était à ce point latent ! Ma qué dé diù !
Mais lâchez-nous la grappe avec vos piaillements grippeux les crêteux ! Merde ! Et laissez-nous crever peinard ! D'autant qu'il y a bien des façons jolies et distinctes de passer de vie à trépas autrement que par une grippe dramatiquement médiatique !
Tenez par exemple, la répétition.
Et oui ! La répétition ! La répétition ! La répétition ! La répétition ! Vous voyez où je veux en venir ? Ya rien de plus chiant qu'la répétition, et rien de plus mortel ! La répétition, la répétition, la répétition, la répétition ! Les répétitions continuelles et lassantes, les répétitions quotidiennes !
Prenons le cas Sarkozy. Cette semaine nous fêtons, disons nous distinguons, les deux ans de pouvoir présidentiel du petit Nicolas. Alors là pour le coup, question répétition, on frise l'apoplexie générale. Le rabâchage est redondant, la rengaine est assonante, le radotage est itératif ! Et cela pose un problème, plutôt cornélien dans le choix : celui de se taire ou celui d'en parler ( ? ).
Comment "mettre en scène" un metteur en scène ? Là est la question. Comment parler d'un beau parleur qui ne cherche en définitive qu'à faire parler de lui ? Ardu ! Comment critiquer ce qu'il faudrait ignorer ?
Le meilleur moyen, me semble-t-il, est de parier sur la culture et l'intelligence des uns et des autres.
L'almanachronique vous en offre les moyens, en publiant aujourd'hui, les paroles de Sarkozy, petit florilège non-exhaustif, illustrées par l'exemple.
Putain deux ans !