L'almanachronique du 31 août ! La rentrée !
Hello les blogos ! Mais entrez donc la blogose !
Aaaaaaaaaahhh ! Le bonheur, cette injustice !
Je voudrais évoquer, en cette rentrée almanachroniquienne, la fin d'août et le vert tendre du lierre; ou la teinte moirée qui tourne un peu à l'orange et qui fonce délicatement à la base de la frêle efflorescence végétale du maigre chêne qui végète au bout du coteau pour virer au rouge tango; cette nuance subtile qui vous met le coeur en boule dans la gorge quand on se promène en cette fin d'été dans un sentier...plein de merde !*
La rentrée ! Quel bonheur !
Pensez-vous, c'est très prochainement le mois des vendanges. Septembre. Comme le disait Gougaud : " En cette fin d'été, c'est l'immortalité qu'on cueille dans les vignes." Et quoi de mieux que l'immortalité pour un présent instable ! Si elle est absconse, du moins rassure-t-elle le poète rêveur. Le présent ? Le présent est guère moins confus mais il fiche les jetons ! Rentrée sociale tonitruante et tuante, chômage légalisé et certifié à tous les étages, un p'tit G20 à venir, une attendue conférence sur le climat à Copenhague, le retour du nabot et de son endive, un nouvel album de Cali (?), de nouveaux interdits et de prohibitions pernicieuses et des tas de marmots braillards dans des cours d'écoles ébranlées ! Mazette ! Quelle rentrée !
Mais bon, soyons gai, bien qu'ataviquement hétérosexuel. Je vous le dis, demain, c'est le mois des vendanges. Le vin. La déraison et l'enivrement. La drogue de vie. Car comme le disait Boris Vian : " Si c'est très embêtant d'être pris par la drogue, c'est tout de même très facile de ne pas être pris par la drogue (...) Il y a assez d'emmerdements sur cette terre pour qu'on excuse, au moins, ceux qui veulent s'en évader temporairement ou pour de vrai...Attendons que la logique s'empare de l'esprit des censeurs de la vie d'autrui. Attendons longtemps. C'est plus sûr. "
Attendre ? Non ! Vivons ! Vivons et buvons !
A votre santé mes blogos !
En route pour de nouvelles aventures...
* Paraphrase de Boris Vian, encore et toujours !
Aaaaaaaaaahhh ! Le bonheur, cette injustice !
Je voudrais évoquer, en cette rentrée almanachroniquienne, la fin d'août et le vert tendre du lierre; ou la teinte moirée qui tourne un peu à l'orange et qui fonce délicatement à la base de la frêle efflorescence végétale du maigre chêne qui végète au bout du coteau pour virer au rouge tango; cette nuance subtile qui vous met le coeur en boule dans la gorge quand on se promène en cette fin d'été dans un sentier...plein de merde !*
La rentrée ! Quel bonheur !
Pensez-vous, c'est très prochainement le mois des vendanges. Septembre. Comme le disait Gougaud : " En cette fin d'été, c'est l'immortalité qu'on cueille dans les vignes." Et quoi de mieux que l'immortalité pour un présent instable ! Si elle est absconse, du moins rassure-t-elle le poète rêveur. Le présent ? Le présent est guère moins confus mais il fiche les jetons ! Rentrée sociale tonitruante et tuante, chômage légalisé et certifié à tous les étages, un p'tit G20 à venir, une attendue conférence sur le climat à Copenhague, le retour du nabot et de son endive, un nouvel album de Cali (?), de nouveaux interdits et de prohibitions pernicieuses et des tas de marmots braillards dans des cours d'écoles ébranlées ! Mazette ! Quelle rentrée !
Mais bon, soyons gai, bien qu'ataviquement hétérosexuel. Je vous le dis, demain, c'est le mois des vendanges. Le vin. La déraison et l'enivrement. La drogue de vie. Car comme le disait Boris Vian : " Si c'est très embêtant d'être pris par la drogue, c'est tout de même très facile de ne pas être pris par la drogue (...) Il y a assez d'emmerdements sur cette terre pour qu'on excuse, au moins, ceux qui veulent s'en évader temporairement ou pour de vrai...Attendons que la logique s'empare de l'esprit des censeurs de la vie d'autrui. Attendons longtemps. C'est plus sûr. "
Attendre ? Non ! Vivons ! Vivons et buvons !
A votre santé mes blogos !
En route pour de nouvelles aventures...
* Paraphrase de Boris Vian, encore et toujours !