L'almanachronique du 21 septembre
Hello les blogos ! -Prout ! -Comment la blogose ?
En ce matin d'une nuitée toute entière consacrée à mes humbles travaux de ravalement de ma glotte par un ronflement atavique et laborieux, voilà t-il pas, dans un français infectieux dont j'honore la profondeur et qui m'interdit sans une mort non-conventionnée de prononcer un " au jour d'aujourd'hui " révulsif, voilà t-il pas donc, admirez la finesse, qu'un doute m'assaille sans coup férir le cortex. Et quand je dis "m'assaille", je n'ai rien contre les pasteurs tanzaniens ! C'est bien pire que ça, je m'en fous ! Dès lors, dedans si vous le souhaitez également, je procède à une rapide analyse de mes incertitudes quotidiennes pour n'en extraire que ce doute qui m'étreint et dont je ne saisis l'âme ! ( Comment peut-on écrire ainsi ?! comme aimait à se le rappeler Jacques )
Bon voyons ! Récapitulons ! Mes doutes. Je mets de coté celui de mon existence, ne crevant ni de solitude, ni d'ennui comme le préconnisait l'Innommable. Premièrement parce qu'il n'y a que les cons qui s'ennuient et que deuxièmement, bien que seul, je n'ai pas le temps de crever ! Faut que je passe l'aspirateur cet après-midi !
Voyons voir. Le doute de mon charme suranné ? Point n'en faut ma mie ! Je me targue d'exciter encore quelques chrétiennes vierges vibromassées au nom des paires et du Saint épris ! Le doute de mon intégrité ? Je n'aime que trop la vertu pour cela. D'autant plus quand vous considérez comme La Rochefoucauld qu'une vertu n'est qu'un vice déguisé ! Bref ! Douter de mon avenir ? Pas de chance ! J'ai un très beau passé ! Douter du présent ? Toujours pas ! Je n'ai pas de futur ! Mais alors quoi ? Je creuse. Je cherche. Je scrute mes scrotums. Quel est donc ce doute mon doudou ? L'incertitude, Ô mes délices, de ma déliquescence ? Je bois assez et assez lentement pour absorber progressivement l'humidité anisée ambiante ! Le doute de notre société ? Il ne faut rien ignorer d'elle. Ce que je tente de faire consciencieusement. A tel point que j'ai renoncé au jeu de la belote pour me plonger dans les affres du bridge, rien que pour faire chier les pauvres, et m'enfermer des heures durant dans des salons dorés avec des bourgeoises gonflables, adeptes du cunnilungus-tea-time ! Je suis prêt pour la lutte finale !
Merde ! Quel est ce doute ? Je douterai presque du doute tant recherché ! Serait-ce cette indécision victorieuse de l'équipe de France face aux hordes bièrisées de ces ires-landais ce soir ? Rugbistiquement faut bien dire que je m'en bats la caudale ! Que le meilleur gagne ! Surtout s'il est français ! Foi d'ADN ! Alors quoi ? Mais aidez-moi ! Pitié !
Hein ?
Ho ?
Ya quelqu'un ?
...
J'ai un doute...
En ce matin d'une nuitée toute entière consacrée à mes humbles travaux de ravalement de ma glotte par un ronflement atavique et laborieux, voilà t-il pas, dans un français infectieux dont j'honore la profondeur et qui m'interdit sans une mort non-conventionnée de prononcer un " au jour d'aujourd'hui " révulsif, voilà t-il pas donc, admirez la finesse, qu'un doute m'assaille sans coup férir le cortex. Et quand je dis "m'assaille", je n'ai rien contre les pasteurs tanzaniens ! C'est bien pire que ça, je m'en fous ! Dès lors, dedans si vous le souhaitez également, je procède à une rapide analyse de mes incertitudes quotidiennes pour n'en extraire que ce doute qui m'étreint et dont je ne saisis l'âme ! ( Comment peut-on écrire ainsi ?! comme aimait à se le rappeler Jacques )
Bon voyons ! Récapitulons ! Mes doutes. Je mets de coté celui de mon existence, ne crevant ni de solitude, ni d'ennui comme le préconnisait l'Innommable. Premièrement parce qu'il n'y a que les cons qui s'ennuient et que deuxièmement, bien que seul, je n'ai pas le temps de crever ! Faut que je passe l'aspirateur cet après-midi !
Voyons voir. Le doute de mon charme suranné ? Point n'en faut ma mie ! Je me targue d'exciter encore quelques chrétiennes vierges vibromassées au nom des paires et du Saint épris ! Le doute de mon intégrité ? Je n'aime que trop la vertu pour cela. D'autant plus quand vous considérez comme La Rochefoucauld qu'une vertu n'est qu'un vice déguisé ! Bref ! Douter de mon avenir ? Pas de chance ! J'ai un très beau passé ! Douter du présent ? Toujours pas ! Je n'ai pas de futur ! Mais alors quoi ? Je creuse. Je cherche. Je scrute mes scrotums. Quel est donc ce doute mon doudou ? L'incertitude, Ô mes délices, de ma déliquescence ? Je bois assez et assez lentement pour absorber progressivement l'humidité anisée ambiante ! Le doute de notre société ? Il ne faut rien ignorer d'elle. Ce que je tente de faire consciencieusement. A tel point que j'ai renoncé au jeu de la belote pour me plonger dans les affres du bridge, rien que pour faire chier les pauvres, et m'enfermer des heures durant dans des salons dorés avec des bourgeoises gonflables, adeptes du cunnilungus-tea-time ! Je suis prêt pour la lutte finale !
Merde ! Quel est ce doute ? Je douterai presque du doute tant recherché ! Serait-ce cette indécision victorieuse de l'équipe de France face aux hordes bièrisées de ces ires-landais ce soir ? Rugbistiquement faut bien dire que je m'en bats la caudale ! Que le meilleur gagne ! Surtout s'il est français ! Foi d'ADN ! Alors quoi ? Mais aidez-moi ! Pitié !
Hein ?
Ho ?
Ya quelqu'un ?
...
J'ai un doute...