L'almanachronique du 22 mars
Hello les blogos ! Etonnant la blogose non ?!
Alors les Parques, c'est Pâques ! Clotho, Lachesis et Atropos, lâchez vos quenouilles mes tria fata adulées ! Il est temps, comme pour Zeus, de préparer un mets mortel ! Le fameux et fumant, l'indicible gâteau de Pâques ! Que nouille et fi du chocolat, gloire au miel mes mielleux dards d'agnelle ! Ignorez vos cloches, elles ne le sont que trop, dédaignez les oeufs cacaotés et autres sucreries translucides, chères à Colette ! Ô miel ambré, happy culture doucereuse, divines abeilles impériales, filles du soleil ! Butinantes tentantes aux accortes mandibules ! Ah mandibule-moi la corolle ma chère ouvrière ! L'âme rassasiée, mes douces ardentes, foulera aux pieds le rayon de miel, et l'âme pressée de la faim trouvera même doux ce qui est ta mère...euh...ce qui est amer ! Loque !
Te voilà donc prêt gourmet ? Pas si près mon petit ! Pour toi gourmette, je puis l'admettre, et même sans d ! Voici donc !
Prenez une tasse de miel, une tasse de sucre (on ne sait jamais !), une de chapelure fine, une demi-tasse de noix hachées, une demi-tasse de carottes finement râpées, et de deux oeufs battus, ô mes fidèles sadiens ! Mettez le tout en rang par deux, et faites silence dans l'élan ! Puis faites fondre miel et sucre dans une casserole de marque Kenroll, qu'ils se marient pour le mieux et le mieux jusqu'à faire un sirop blond, légèrement aryen. Faites zy caraméliser noix et carottes mélangées. A cela, ajoutez le reste prestement, les oeufs zen dernier. Faites en fête cuire à feu doux en tournant à la spatule, plutôt louche comme oiseau, jusqu'à ce que votre mélange se détache des parois de la casserole Kenroll.
Versez sur une planche à patisserie mouillée, étalez, saupoudrez de sucre vanillé (on ne sait jamais !). Et voilà ! Hop ! C'est prêt !
Je viens de te dire pas trop près mon fidèle gourmet !
-J'm'appelle Colas, pas gourmet pauvr'con !
Te voilà bien chaud Colas !
Alors les Parques, c'est Pâques ! Clotho, Lachesis et Atropos, lâchez vos quenouilles mes tria fata adulées ! Il est temps, comme pour Zeus, de préparer un mets mortel ! Le fameux et fumant, l'indicible gâteau de Pâques ! Que nouille et fi du chocolat, gloire au miel mes mielleux dards d'agnelle ! Ignorez vos cloches, elles ne le sont que trop, dédaignez les oeufs cacaotés et autres sucreries translucides, chères à Colette ! Ô miel ambré, happy culture doucereuse, divines abeilles impériales, filles du soleil ! Butinantes tentantes aux accortes mandibules ! Ah mandibule-moi la corolle ma chère ouvrière ! L'âme rassasiée, mes douces ardentes, foulera aux pieds le rayon de miel, et l'âme pressée de la faim trouvera même doux ce qui est ta mère...euh...ce qui est amer ! Loque !
Te voilà donc prêt gourmet ? Pas si près mon petit ! Pour toi gourmette, je puis l'admettre, et même sans d ! Voici donc !
Prenez une tasse de miel, une tasse de sucre (on ne sait jamais !), une de chapelure fine, une demi-tasse de noix hachées, une demi-tasse de carottes finement râpées, et de deux oeufs battus, ô mes fidèles sadiens ! Mettez le tout en rang par deux, et faites silence dans l'élan ! Puis faites fondre miel et sucre dans une casserole de marque Kenroll, qu'ils se marient pour le mieux et le mieux jusqu'à faire un sirop blond, légèrement aryen. Faites zy caraméliser noix et carottes mélangées. A cela, ajoutez le reste prestement, les oeufs zen dernier. Faites en fête cuire à feu doux en tournant à la spatule, plutôt louche comme oiseau, jusqu'à ce que votre mélange se détache des parois de la casserole Kenroll.
Versez sur une planche à patisserie mouillée, étalez, saupoudrez de sucre vanillé (on ne sait jamais !). Et voilà ! Hop ! C'est prêt !
Je viens de te dire pas trop près mon fidèle gourmet !
-J'm'appelle Colas, pas gourmet pauvr'con !
Te voilà bien chaud Colas !