L'almannakronique du 25 marce

Publié le par blancafort

Hello les blogos ! Snif Snif Bouhouuuu la blogose !

J'ai onte ! Dieu que j'ai onte ! Je me suis laisser allé ces jours-si à des divaguations purement téoriques, des flaneries sans faim, sur l'actualité brûlante, sur ces conséquensses induites, sur la violence de ce monde indompetable, sur tout et n'importe qwoi. J'ai armé mon bra et ma plume pour, en fin de conte, ne rien dire, ne rien soulevé de pré-dominant, ni de décisif. Et tout sa, alors mème que nous faitions cet semaine, la semaine de la langue francaise. Et dire que j'ai failli. Oui, j'ai failli à ma tache. Voyez vous, j'ai atendu la faim de cette honorâble manifestation pour vous en parlé. Alors mème qu'ici, en ses lignes auguste, au fil des jours, et vous an êtes témoin, je défend plus que deux raisons la langue et sa substantifik moèlle, son ortografe et la dialectique induite. Comment ai-je put à ce point ignorais celle-si ? Je cose, je cose inutilement sur des sujets d'actualitée dépassé le lendemain par d'autres. Les modes passe, les grands problaimes restent. Je devrait le savoir.
Car le grand probléme, au jour daujourdui, plus queue tout temps, c'est bien la langue. Placée, sans contrepouvoir et sans ressources, en fasse du problaime planétaire, d'urgeances qui ne lui feron pas de kadeaux ( la fin dans le monde, l'ultra-libairalisme, l'épuisement des matiaires premiéres et la responssabillité imédiate de lavenir ), armée seulement de ses idiomes, ou d'infinies détails acquis au prix d'une lutte qui l'empèchent d'exister comme telle. La langue est à "repanser" complaitement. Non pas forcément pour la changeais, pour la remanié, ni pour la moderniser, mais plu zencore pour la préservée. La préservée du langage actuelle, a ce point économique et dénué de poèsie. Le constat est affligeant. Nous ne savon plus parler, ni penser. Et que dire des enffants ? Il ne peuvent plus que balbutié le francais ! ( Et cé le moment quon a choisi pour leur demandaient ce quil pensent alors qu'ils ne dispozent pas des mots. Comme si l'idé pouvait se passé de mots ! ) Je ri ! Mais quid de la poèsie ? Quid de celle-si en ce monde austère, ou l'argent es roi et où le travail, métodiquement, arase toute liberté ?
La langue est notre salu. C'est par les mot qu'on obtiendrat notre liberté, notre droi à panser, à contesté.
Alor oui je le dit ! Vive la langue francaise ! Vive les mot ! Vive la liberté !

Publié dans Chroniques

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